If you will allow me, Mr President, and without my speaking in the debate, the outcome of which is, in any case, a foregone conclusion, I should like, as provided for by Article 7, to speak for three minutes on the basis of Article 145 in order to voice my opinion on accusations directed at me personally.
Si vous le permettez, Monsieur le Président, et sans intervenir dans le débat qui est de toute façon couru d’avance, je voudrais intervenir trois minutes sur la base de l’article 145, comme le prévoit l’article 7, afin de m’expliquer sur une mise en cause personnelle.