Thus, the EU needs an effective anti-fraud authority. But we have had bad experiences of OLAF, including a lack of independence, a lack of transparency, secret lobbying in connection with the appointment of the director general and the Supervisory Committee.
C’est pourquoi l’UE doit disposer d’une autorité antifraude efficace, mais nous avons connu de mauvaises expériences avec l’OLAF, notamment un manque d’indépendance, un manque de transparence, des pressions secrètes par rapport à la désignation du directeur général et du comité de surveillance.