Si certains AVVIH/sida décident de ne pas se servir de médicame
nts ou de thérapies associés au VIH [69], un grand nombre (88 %) ont signalé qu’ils avaient eu recours à de
s services de santé primaires ou eu besoin de ces services, entre autres, ceux offerts par des médecins, des pharmacies, des hôpitaux et des CLSC. Environ 60 % des répondants ont indiqué avoir eu besoin ou utilisé des services de soins traditionnels, tels les conseils d
’Aînés, la ...[+++] médecine ancestrale, les cérémonies et les cercles de guérison, tandis que près de la moitié (45,6 %) avaient eu recours à des thérapies complémentaires ou différentes ou ont eu besoin de ces thérapies, comme la massothérapie, l’usage thérapeutique de la marijuana et l’homéopathie [1].
While some APHAs choose not to use any HIV drugs or therapies [69], a large number of respondents (88%) reported that they used or needed primary health care services, such as doctors, pharmacies, hospitals and health centres. Approximately 60% of the study’s respondents reported using or needing traditional care services, such as Elder counselling, traditional medicine, ceremonies and healing circles, while nearly half (45.6%) used or needed complementary or alternative therapies such as massage therapy, medical marijuana and homeopathy [1].