La réponse du Canada au comité précise que les enfants des Premières Nations sont 4,2 fois plus susceptibles de faire l'objet d'une enquête d'agent de la protection de l'enfance que les enfants non autochtones, et que cela résulte de négligence liée à la pauvreté, à l'abus d'alcool ou d'autres drogues, à l'isolement social et à la violence familiale.
The Canadian response to the committee cites that first nations children are 4.2 times more likely to be investigated by child welfare officials than non-aboriginal children, and that this is driven by neglect linked to poverty, substance abuse, social isolation and domestic violence.