Permettez-moi de conclure en citant les paroles d’Edmund Burke, on ne peut plus appropriées à nos malaises actuels: ce n’est pas parce qu’une douzaine de sauterelles cachées sous une fougère remplissent la prairie de leur chant importun, tandis que le bétail nombreux se repose en silence à l’ombre des arbres, qu’il faut s’imaginer que ceux qui font tout le bruit sont les seuls habitants de cette prairie.
Allow me to close with the words of Edmund Burke, which seem unusually apt to our present discontents: ‘Because half a dozen grasshoppers concealed beneath a fern make the field ring with their importunate chink, while thousands of great cattle take their repose beneath the shadow of a tree and are silent, pray do not imagine that those who make all the noise are the only inhabitants of the field’.