Alors qu'aux États-Unis, la tendance était nettement aux peines minimales obligatoires, le Canada, dirigé successivement par des gouvernements d'allégeance politique différente, a évité les conséquences néfastes qu'une telle démarche comportait. En effet, le Canada a plutôt élaboré de solides politiques de détermination de la peine qui reflétaient les valeurs des Canadiens et a laissé aux juges le soin de décider des peines.
While the United States embraced mandatory minimum sentencing, Canada, through various governments of different political stripes, avoided the wedge politics that this creates and instead developed sound sentencing policies that reflected values of Canadians and left sentencing to the judges.