Selon l'étude, l'exclusion sociale vécue par les Autochtones en milieu urbain tient à plusieurs facteurs, principalement le racisme, les préjugés, les stéréotypes, le faible degré de scolarisation et d'alphabétisation, la pauvreté et le chômage, l'absence de politiques et de programmes gouvernementaux destinés aux Autochtones vivant en milieu urbain et la réticence des gouvernements à tenir compte des Autochtones vivant dans les villes dans le cadre de leurs poli
tiques. D'après les centres d'amitié, les principaux enseignements que l'ensemble des gouverne
...[+++]ments peuvent tirer de cette étude tiennent à ce que la pauvreté et l'exclusion sociale chez les Autochtones vivant dans les villes canadiennes sont des problèmes très graves qui ont des répercussions sur la vie quotidienne de milliers d'enfants, de jeunes et de mères de familles monoparentales; et que ces répercussions ont des effets dévastateurs sur la santé, l'éducation sociale, le bien-être économique et l'avenir des peuples autochtones en milieu urbain.
The key messages from this study that friendship centres want all governments to know are that poverty and social exclusion among the urban aboriginal population in Canada are very serious issues that impact many thousands of children, youth, and single families in their daily lives; and that the impacts of poverty and social exclusion are having devastating impacts on health, social education, economic well-being, and the future lives of Canadian urban aboriginal people.