Les deux chercheurs ont donc adapté les modèles de manière à les faire ressembler au phénomène de brassage convectif que l'on connaît à l'heure actuelle et qui, à l'échelle planétaire, entraîne le déplacement de 16 millions de mètres cubes d'eau par seconde.
So they tuned the model up to look like the present-day overturning circulation, which has 16 million cubic metres of water per second participating in this large global overturning.