Ma Fava va oltre e diventa inquisitore di parte e riconosce tale diritto ai terroristi ma non agli agenti segreti incriminati e arrestati a Milano da un magistrato che nega al capo dei servizi italiani, il generale Pollari, il diritto alla difesa, rigettando la sua istanza di ascoltare come testi il capo del governo precedente, Berlusconi, e quello attuale, Prodi.
Toutefois, M. Fava va plus loin et se transforme en inquisiteur partial: il accorde ce droit aux terroristes, mais pas aux agents secrets incriminés et arrêtés à Milan par un juge qui a dénié au chef des services secrets italiens, le général Pollari, le droit de se défendre, puisqu’il a rejeté sa demande d’appeler le précédent chef du gouvernement, Silvio Berlusconi, et l’actuel titulaire du poste, Romano Prodi, à témoigner.