221. si rammarica dell'abbandono del progetto per la costruzione di un impianto di dissalazione dell'acqua marina, che ha rappresen
tato un deprecabile insuccesso; ricorda che non si trattava soltanto del principale progetto nel settore idrico, ma a
nche del più grande intervento finanziato nell'ambito dello strumento (pari a circa il 10% del valore totale dei contratti siglati) e che l'impianto era destinato a fornire 23 000 m di a
...[+++]cqua potabile pulita al giorno per coprire il fabbisogno stimato di 100 000 persone, e ricorda che il rifornimento idrico sta diventando un problema sempre più critico per l'isola, data la riduzione del 40% delle precipitazioni medie annuali negli ultimi trent'anni; è profondamente preoccupato per l'annullamento del progetto a causa di restrizioni imposte al contraente greco-cipriota dall'esercito turco e per il fatto che, cessate le restrizioni nel marzo 2010, il contraente non abbia voluto portare avanti il progetto adducendo circostanze sfavorevoli, elementi che impediscono di affrontare questo grave problema ambientale; invita la Commissione a esaminare le possibilità di rilanciare il progetto; 221. déplore l'échec du projet de construction d'une usine de dessalement de l'eau de mer, qui est un sérieux revers; rappelle que ce projet était non seulement le principal projet dans le secteur hydraulique, mais encore, et de loin, le plus important projet fi
nancé au titre de l'instrument (il représentait près de 10 % du montant total du contrat), et que l'usine était destinée à fournir 23 000 m3 d'eau potable par jour, ce qui correspond aux besoins de quelque 100 000 personnes; rappelle par ailleurs que l'approvisionnement en eau devient chaque jour plus critique pour l'île, à la suite d'une baisse de 40 % des précipitations annuel
...[+++]les moyennes au cours des trente dernières années; est fortement préoccupé par le fait que l'échec de ce projet, dû aux restrictions imposées par l'armée turque à l'entreprise de construction chypriote grecque ainsi qu'au refus de l'entrepreneur de poursuivre les travaux, invoquant un manque de temps, lorsque ces restrictions ont été levées en mars 2010, signifie que cette brûlante question d'ordre environnemental ne sera pas résolue; invite la Commission à étudier la possibilité de renouveler le projet;