As I explained yesterday and as my deputy minister confirmed, in contrast to what the member for Bourassa is saying, at present, because of a legislative gap that has existed since 2005, if a producer were prosecuted under the Criminal Code, I would have no way of preventing that producer from receiving public money.
Comme je l'ai expliqué hier, et comme ma sous-ministre l'a confirmé, contrairement à ce que dit le député de Bourassa, au moment où l'on se parle, un vide fait en sorte que, depuis 2005, si un producteur était poursuivi en vertu du Code criminel, je n'aurais aucun moyen de l'empêcher de recevoir des fonds publics.