As shown by the financial data set out in paragraph 8 (and not disputed by France during the formal investigation procedure), AFR had had negative capital and reserves since 2001 and had not, at the time the aid was granted, been able to reverse this trend and move back into a positive situation as regards capital and reserves.
Ainsi qu’il ressort des données financières citées au point 8 (et qui n’ont pas été contestées par la France dans le cadre de la procédure formelle d’examen), AFR était en capitaux propres négatifs depuis 2001 et n’avait, au moment de l’octroi de l’aide, pas été capable d’enrayer cette tendance et de retrouver des capitaux propres positifs.