Yet, in the face of Enbridge's dismal track record and total lack of social licence in British Columbia, the decision from the JRP tells us that they, like Conservatives, could hear just one voice in this country, that of the oil lobby.
Étant donné le bilan lamentable de la société Enbridge et le fait que la population refuse complètement de donner son assentiment au projet, la décision de la commission nous montre que celle-ci n'a tenu compte, à l'instar des conservateurs, que d'un seul point de vue, soit celui du lobby des pétrolières.