Contrary to what Alpharma appears to suggest, there is no obligation for the Commission to indicate in a LF or SSO which of the facts, initially adduced in the SO, it believes are no longer correct in light of the evidence subsequently discovered.
Contrairement à ce qu’Alpharma semble suggérer, dans un exposé des faits ou dans une CGC, la Commission n’a pas l’obligation d’indiquer les faits initialement invoqués dans la CG qu’elle considère comme n’étant plus exacts à la lumière des preuves découvertes par la suite.