Par lettre, en date du 5 juillet 2000, à Mme Theato, Mme Schreyer indiquait qu'elle apprenait "à
l'instant", de son attachée de presse, que l'OLAF et les autorités nationales compétentes avaient l'intention d
'informer l'opinion publique de l'affaire de la fraude au beurre frelaté. Dans sa lettre, Mme Schreyer indiquait notamment que,
contrairement à des informations qui lui avaient été communiquées précédemment
...[+++], les intérêts financiers de la Communauté étaient aussi affectés.