M. Jean-Luc Pepin le décrivait comme «un hospice politique, la maison des morts, la livre de chair exigée par les partis, le club des pensionnés le plus exclusif du monde, la cinquième roue du char de l'État, l'écho creux d'un passé
He described it as ``a political hospice, a sepulchre, the pound of flesh demanded by the parties, the most exclusive retirement club in the world, the fifth wheel of govern-