La plupart des études effectuées au Canada à ce jour démontrent que le taux de partage des seringues au cours des six premiers mois est de 30 à 50 p. 100. Ceux qui s'injectent de la cocaïne semblent s'exposer à un risque particulièrement élevé de contracter le VIH et l'hépatite virale à cause de leur fréquence plus élevée d'injections et de la grande désorganisation sociale associée à cette habitude.
Rates of sharing in the previous six months of 30% to 50% have been observed in most studies in Canada to date. Cocaine injectors appear to be at particularly high risk of HIV and HCV related to their higher frequency of injection and greater social disorganization associated with its use.