La juridiction grecque a alors demandé à la Cour de justice si le droit de l'Union et notamment les principes sur les libertés fondamentales (d'établissement et de prestation de services) s’opposent à la réglementation nationale, qui octroie à un organisme unique le droit exclusif d’exploiter les jeux de hasard.
The Greek court then made a reference to the Court of Justice, asking whether EU law, particularly the principles of the fundamental freedoms (freedom of establishment and freedom to provide services), preclude national legislation which grants the exclusive right to operate games of chance to a single entity.