On peut difficilement, d'une part, se plai
ndre que les partis politiques seront financés à partir de l'ensemble des deniers publics de la population pour une partie—on peut difficilement s'élever contre un projet de loi
qui démocratise le financement, qui interdit à des compagnies de verser 25 000 $, 50 000 $, 75 000 $, 100 000 $ et plus à un parti politique—et d'autre part, expliquer à la population qu'on n'est vraiment pas d'accord et qu'on condamne le gouvernement et le vice-premier ministre, à propos de sa campagne au leadership,
...[+++]d'avoir reçu d'un milliardaire—je ne sais trop—25 000 $ ou 50 000 $, peu importe le montant, mais une somme impressionnante.
It is difficult to complain, on the one hand, that political parties will be financed in part using taxpayers' money—it would be hard to get upset with a bill that democratizes funding and prohibits companies from giving $25,000, $50,000, $75,000 $100,000 and more to a political party—and, on the other hand, explain to the public that we do not really agree and disapprove of the government and the Deputy Prime Minister having received $25,000 or $50,000—I am not sure exactly, but it was an impressive amount—from a billionaire for his leadership campaign.