Elle n’a pas insisté sur des questions telles que l’importance des droits des usagers, la nécessité d’empêcher la congestion des grands axes et, par conséquent, d’éviter une perte de compétitivité du système
économique (10 % du réseau routier européen est quotidiennement affecté par les embouteillages, 20 % des réseaux ferroviaires sont caractérisés par des goulets d’étranglement, et les vols sont fréquemment retardés dans bon nombre des principaux aéroports). La présidence ne s’est pas non plus attardée sur les principaux systèmes d’infrastructure (le réseau ferroviaire transeuropéen à gran
de vitesse ...[+++] pour les trains de passagers, y compris les liaisons avec les aéroports) et sur les transports respectueux de l’environnement, toutes ces questions étant clairement définies dans le livre blanc de la Commission sur les transports publié en septembre dernier.