Ces résultats sont renforcés par des sondages récents menés dans les nouveaux États membres, qui indiquent eux aussi une hostilité croissante à l'égard de l'adoption de l'euro. Seuls 44% de la population des nouveaux États membres estiment que l'introduction de l'euro sera bénéfique pour leur pays, alors que 47% sont mécontents à l'idée que l'euro remplace leur monnaie nationale.
These polls are reinforced by recent ones conducted in the new Member States, which also reflect an increasing hostility towards the adoption of the euro: only 44% of the population in the new Member States believe that the introduction of the euro will have positive consequences for their country, and 47% is unhappy about the euro replacing their national currency.