Comme je l’ai dit à plusieurs reprises par le passé, la décision d’émettre des billets de 500 et de 200 euros, d’une dénomination respectivement cinq et deux fois plus élevée que les plus gros billets en dollars ou en yens généralement en circulation, fait de l’euro une monnaie de choix pour le blanchiment d’argent comme pour la contrefaçon.
As I have said on a number of previous occasions, the decision to issue EUR 500 and EUR 200 notes, which are five times larger than and twice as large as the largest dollar or yen note in general circulation, makes the euro potentially the currency of choice both for money-laundering and counterfeiting.