Ces propositions ne sont bien sûr plus à l’ordre du jour et la négociation a tourné court. Par conséquent, dans les faits, le coût excessif de l’acier américain - je rappelle que la force du dollar n’est absolument pas en cause mais bien les systèmes de protection sociale et de retraites en vigueur dans l’industrie sidérurgique - ce coût sera répercutée sur nous.
These proposals have, of course, been dismissed, which means, therefore, that we cannot make any more headway, and that the high costs of steel in America – certainly not simply due to the expensive dollar, but also, of course, due to the social security schemes and pensions in the steel industry – have, in fact, been passed on to us.