De nombreux programmes semblent avoir pour unique fin de donner de l’ouvrage aux secrétariats élargis ».[82] On a également avancé qu’il fallait transférer le FNULAD à des organes de contrôle des stupéfiants relevant du Conseil économique et social au Programme de développement des Nations Unies – un organisme mieux en mesure d’évaluer les besoins en matière de développement et d’aide des pays bénéficiaires.[83]
Indeed many of the Programs appear to serve no purpose other than to provide occupation for the enlarged secretariats”. [82] It was also argued that the UNFDAC should be transferred from the drug control bodies under ECOSOC to the United Nations Development Program, which was better able to assess the development and aid needs of recipient countries.[83]