En mars 1976, Pierre Trudeau, alors toujours premier ministre du Canada, affirme dans une lettre envoyée à tous les premiers ministres provinciaux, que si l'unanimité ne semble pouvoir se faire, force sera au gouvernement fédéral de décider s'il doit ou non recommander au Parlement le rapatriement de l'Acte constitutionnel de 1867.
In March 1976, Pierre Trudeau, who was still Prime Minister, writes in a letter addressed to all provincial premiers that if there is no unanimity, the federal government will have no choice but to decide whether or not to recommend to Parliament the patriation of the 1867 Constitutional Act.