Avant la crise, la Syrie était considérée comme la pièce maîtresse d'un vaste réseau de relations que la Turquie tentait d'utiliser à son avantage en faisant jouer son tout récent rôle de leadership au Moyen-Orient pour faire pression sur l'Europe, influencer Washington et intervenir plus largement dans les décisions prises à l'échelle régionale et internationale.
Before the crisis, Syria was seen as the key piece of a larger mosaic of relations that Turkey was trying to apply to its own advantage, using a newly acquired Middle Eastern leadership to gain leverage in Europe, influence in Washington and a greater say in regional and international decision making.