C. considerando che l'impatto della crisi ha aggravato la situazione per le famiglie sfrattate, le quali devono continuare a rimborsare il loro mutuo e gli interessi crescenti che ne derivano; che il governo spagnolo, con la legge 6/2012, ha introdotto la possibilità della "datio in solutum" come misura eccezionale; che, secondo i dati ufficiali del secondo trimestre 2014, su 11 407 domande complessive la "datio in solutum" è stata approvata in soli 1 467 casi, corrispondenti al 12,86% del totale;
C. considérant que les conséquences de la crise ont aggravé la situation des familles expulsées, qui doivent continuer de rembourser leur prêt hypothécaire et les intérêts croissants qui en découlent, après avoir perdu leur logement; que le gouvernement espagnol, par la loi n° 6/2012, a rendu possible le recours à la "datio in solutum" en tant que mesure exceptionnelle; que, selon les chiffres officiels pour le deuxième trimestre 2014, la "datio in solutum" n'a été autorisée que dans 1 467 cas sur 11 407 demandes, soit une proportion de 12,86 %;