Quando l’ultima generazione vide tacciare Nelson Mandela di terrorismo, quando gli ex tedeschi dell’est valicavano clandestinamente il muro di Berlino, quando l’Olocausto rappresentava uno dei genocidi etnici più gravi della storia del mondo, le minacce del terrorismo, del traffico degli esseri umani e dell’odio razziale erano un incentivo a ribadire i diritti dell’uomo, non a stroncarli.
Alors que la dernière génération a vu Nelson Mandela qualifié de terroriste, alors que les anciens Allemands de l’Est sont passés illégalement par le mur de Berlin, alors que l’Holocauste a représenté l’un des pires génocides ethniques de l’histoire, les menaces de terrorisme, de traite et de haine raciale étaient un signal pour reconnaître les droits de l’homme, pas pour les réduire à néant.