Il RAC ha tuttavia ritenuto che, dal momento che gli studi di biosorveglianza vertevano su campioni prelevati prima del 2007, le stime di esposizione non riflettevano la situazione corrente e indicavano un livello superiore alla realtà in vista dell’attuazione della normativa UE relativa alla presenza di ftalati nei materiali destinati a venire a contatto con i prodotti alimentari (5), i cosmetici (6) nonché i giocattoli e gli articoli di puericultura (7), normativa che avrebbe dovuto ridurre il livello di esposizione.
Il a néanmoins considéré que, puisque les études de biosurveillance portaient sur des échantillons prélevés avant 2007, les estimations d’exposition ne reflétaient pas la situation actuelle et indiquaient un niveau supérieur à la réalité, eu égard à l’application de la législation de l’Union européenne relative à la présence de phtalates dans les matériaux destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires (5), les cosmétiques (6) et les jouets et articles de puériculture (7), qui était supposée avoir réduit l’exposition.