La seconda si è dimostrata fortemente critica, a causa delle potenziali violazioni dei diritti dell'uomo e dei costi per gli operatori, respingendo la proposta del Consiglio e chiedendo alla Commissione di preparare una nuova proposta successivamente all'entrata in vigore del trattato di Amsterdam.
La seconde, en revanche, a formulé de vives critiques, tant sous l'angle des atteintes potentielles aux droits de l'homme que sous celui du coût économique pour les opérateurs, ce qui l'a amenée à rejeter la proposition du Conseil et à inviter la Commission à élaborer une nouvelle proposition dès que le traité d'Amsterdam serait entré en vigueur.