Allora, forse, quello che noi dobbiamo fare è cercare di uscire dal ruolo di commentatori: cerchiamo di far di tutto per evitare gli interventi militari e non stiamo semplicemente ad assistere agli errori degli altri, rischiando di produrre, ancora una volta, non l’Europa di Churchill ma l’Europa di Chamberlain, rischiando di porci, ancora una volta, per incapacità, per inerzia, per assenza di mezzi e di strumenti, istituzionali e magari anche militari, nell’incapacità di intervenire.
Alors, peut-être, ce que nous devons faire, c'est chercher de sortir de ce rôle d'observateurs : tentons de faire tout pour éviter les interventions militaires et ne restons pas simplement là, à assister aux erreurs des autres, avec le risque de produire, encore une fois, non pas l'Europe de Churchill mais l'Europe de Chamberlain, avec le risque de nous placer, encore une fois, dans l'incapacité d'intervenir à cause de notre incapacité, de notre inertie, de notre absence de moyens et d'instruments, institutionnels et peut-être même militaires.