In generale, si parte dal presupposto che circa la metà di tale disparità sia da addebitare alla diversa progressione della carriera di uomini e donne (ad esempio, le donne interrompono più facilmente la carriera rispetto agli uomini, accumulando un conseguente ritardo professionale), ai titoli di studio meno elevati (soprattutto delle lavoratrici anziane), al fatto che le donne che lavorano in media sono più giovani dei lavoratori maschi, in altri termini a diverse differenze strutturali.
Mais, de manière générale, l'on considère que, dans presque 50 pour cent des cas, l'écart de rémunération est à attribuer aux différences observées dans le déroulement de la carrière des hommes et des femmes - à titre d'exemple, celles-ci recourent plus fréquemment que les hommes aux interruptions de carrière, si bien que leur carrière se développe plus lentement -, au niveau d'instruction moins élevé des femmes - principalement des femmes plus âgées -, au fait que les femmes qui travaillent sont, en moyenne, plus jeunes que les hommes, bref, à des différences structurelles objectives.