Tale risposta, con la sentenza della Corte arbitrale che ha assegnato l'importo di 580 milioni di euro all'Olympic Airways a parziale decurtazione dei debiti del Tesoro verso la società e per debiti che sono stati registrati nei libri della stessa, espone la Commissione per il fatto che, mentre per molti anni i governi hanno oberato con debiti enormi che si rifiutavano di riconoscere l'Olympic Airways, l'Unione europea se ne è "lavata le mani" fingendo di accettare per veritieri i dati forniti dai governi.
Cette réponse, mise en regard avec la décision du tribunal d'arbitrage - qui a adjugé la somme de 580 millions d'euros à Olympic Airways pour une partie seulement des dettes de l'État grec envers la compagnie et pour des dettes qui ont été inscrites dans les livres de comptes de la compagnie - accable la Commission. Il apparaît en effet que, tandis que, durant de nombreuses années, les gouvernements successifs contractaient des dettes énormes envers Olympic Airways, dettes qu'ils refusaient de reconnaître, l'Union européenne "s'en lavait les mains", faisant mine d'admettre la sincérité des informations fournies par ces gouvernements.