Nella sentenza pronunciata dalla Corte di giustizia delle Comunità europee il 29 aprile 1999 nella causa C-342/96 Regno di Spagna contro Commissione (di seguito «sentenza Tubacex») (3), la Corte ha rilevato che gli accordi di rinegoziazione del debito stipulati dalla TGSS e dal FOGASA non costituivano aiuti di Stato, in quanto detti organismi pubblici si erano comportati alla stregua di un creditore privato che tenta di recuperare le somme dovutegli, purché il tasso d’interesse fosse almeno pari a quello che applicherebbe un creditore privato (4) e che l’accordo di rinegoziazione non facesse sorgere nuovi debiti.
Dans l’arrêt de la Cour de justice des Communautés européennes du 29 avril 1999 dans l’affaire C-342/96, Espagne/Commission (ci-après «l’arrêt Tubacex») (3), la Cour a jugé que des accords de rééchelonnement de dettes conclus par la TGSS et le FOGASA n’étaient pas constitutifs d’aides d’État dès lors que ces organismes publics ont agi comme l’aurait fait un créancier privé qui cherche à récupérer des sommes qui lui sont dues pour autant que le taux d’intérêt est au moins égal à celui qu’aurait accordé un créancier privé (4) et que ce même accord de rééchelonnement n’aboutisse pas au cumul de nouvelles dettes.