Due anni fa, in quest’Aula, dissi che temevo che il trattato di Lisbona potesse fare la fine del pesce ne Il vecchio e il mare , il romanzo breve di Hemingway, il quale, dopo una lunga battaglia, giunge in porto ridotto a uno scheletro.
Il y a deux ans, devant cette Assemblée, je disais craindre que le traité de Lisbonne connaisse le même sort que le poisson du roman d’Hemingway, Le Vieil homme et la mer, qui, après un long combat, est arrivé au port presque comme un tas d’arêtes.