Seule une faible proportion d’aînés (1 p. 100) ont déclaré avoir été victimes de violence physique ou sexuelle[78]. Les cas réels de mauvais traitements peuvent toutefois être plus nombreux que ceux signalés étant donné que les victimes peuvent ne pas vouloir signaler les actes commis à leur égard, ou être incapables de le faire, pour diverses raisons, notamment la déficience cognitive, la dépendance par rapport à l’agresseur, les obstacles linguistiques ou culturels, la crainte de représailles et la honte ou la crainte des préjugés.
A smaller proportion (1%) reported experiencing physical or sexual abuse.[79] These reported rates may be lower than actual incidences of abuse, however, as victims can be unwilling or unable to report abuse for a variety of reasons including cognitive impairments, dependence on the abuser, linguistic or cultural barriers, fear of retaliation and shame or stigma.