Qu'arrive-t-il si le Canada applique une analyse des dommages causés aux marchés, comme le préconise, par exemple, le projet de loi C-474 et que, soudain, il constate que ses clients tolèrent une faible concentration d'OGM dans ses produits, alors que des producteurs continuent d'exiger leur absence totale?
What if Canada applies a harm-to-market analysis such as was suggested, say, in C-474, and all of a sudden we understand the markets out there accept a low-level presence, while there are still farmers who want a zero presence?