Per inciso, gli accessi di lirismo di coloro che ieri e oggi chiedevano una riduzione dell’intervento statale e della spesa pubblica, una totale liberalizzazione, la privatizzazione e la relegazione dell’agricoltura al ruolo di attività pressoché preistorica, per poi esprimersi a favore di consistenti investimenti pubblici nella produzione agricola e nella sovranità alimentare, sono parsi al tempo stesso risibili e scandalosi.
Au passage, les envolées lyriques de ceux qui appelaient hier et aujourd’hui encore à la réduction de l’intervention de l’État et de la dépense publique, à la libéralisation tous azimuts, à la privatisation et à la relégation de l’agriculture comme activité quasi-préhistorique, cette volte-face, donc, en faveur d’investissements publics massifs dans la production agricole et la souveraineté alimentaire, tout cela avait quelque chose à la fois de cocasse et de scandaleux.