2) Il luogo in cui il destinatario di merci, dopo l'esecuzione del trasporto marittimo e, successivamente, del trasporto terrestre finale, si è limitato ad accertare l'esistenza delle avarie alle merci consegnategli non può servire per determinare il "luogo in cui l'evento dannoso è avvenuto" ai sensi dell'art. 5, punto 3, della Convenzione, come interpretato dalla Corte.
2) Le lieu où le destinataire de marchandises, après l'exécution du transport maritime p uis du transport terrestre final, n'a fait que constater l'existence des avaries aux marchandises qui lui ont été livrées ne peut servir à déterminer le 'lieu où le fait dommageable s'est produit' au sens de l'article 5, point 3, de la convention du 27 septembre 1968, tel qu'interprété par la Cour.