El nuevo artículo 4A, con sus ejemplos negativos, crea una importante protección contra las patentes de software, porque decimos claramente que el software puro no se puede patentar, que los métodos empresariales no se pueden patentar y que los algoritmos y los procesadores de datos tampoco pueden patentarse.
Le nouvel article 4 bis, avec ses exemples négatifs, assure une protection sans faille contre la brevetabilité des logiciels, parce que nous disons très clairement que les logiciels purs ne peuvent être brevetés, que les méthodes destinées à l’exercice d’activités économiques ne peuvent être brevetées, et que les algorithmes et le traitement de données ne peuvent être brevetés non plus.