La crise économique a eu pour effet de mettre en évidence le rôle des syndicats officiels qui maintiennent les travailleurs mexicains dans des syndicats à la solde du gouvernement, qui ne négocient que le salaire minimum légal—en bien des endroits, en particulier dans la région des Maquiladoras en bordure de la frontière, cela représente entre 3 et 4 $ par jour, un salaire de misère—et qui maintiennent les travailleurs dans la sujétion grâce à des pactes économiques signés par les entreprises, l'État et les syndicats officiels.
The economic crisis has had the effect of highlighting the role of official trade union structures in keeping Mexican workers prisoners in government-controlled unions, which provide only the legal minimum wage—in many places, particularly in the Maquiladora region along the border, that's between $3 and $4 a day, an unliveable wage—and hold workers back through economic pacts signed by business, the government, and the official unions.