La Présidence reconnaît toutefois que, si l'on applique le principe de la destination, à savoir la taxation des importations et le remboursement de la taxe à l'exportation, cela risque, dans le cas d'une taxe sur le CO2 et l'énergie frappant les intrants, de poser des problèmes juridiques au regard du droit communautaire et des règles du GATT (cf. avis du service juridique du Conseil, doc. 10511/92).
However, the Presidency recognizes that the application of the destination principle, i.e. taxing imports and refunding tax on exports, in the case of a CO2/energy tax imposed on input, may cause legal problems under Community law and GATT rules (see opinion of the Council's Legal Service in 10511/92).