Tous ces textes, la directive et les amendements, nous amènent à rappeler dans le contexte de nos récents débats sur la sécurité qu'il est profondément malsain d'autoriser l'entrée sur nos territoires de demandeurs d'asile au nombre de 400.000 à 500.000 par an aujourd'hui, dont la plupart seront finalement déboutés mais qui, n'étant pas expulsés, vivront dans une semi-clandestinité.
All these texts, both the directive and the amendments, remind us, against the background of our recent debates on security, that it is extremely unhealthy in times like these to authorise 400 000 to 500 000 asylum-seekers a year to enter our territory, given that the majority will ultimately be turned down, but as they are not expelled, will remain on a semi-clandestine basis.