Pour soutenir leur attaque, ils ont déposé à l'ONU des éléments sans fondement et caducs puisés soit dans l'atelier de fabrication de preuves de la CIA, soit dans des études faites par des étudiants ou encore dans leur stock d'écoutes téléphoniques constitué en 1990, comme l'a reconnu avant-hier l'ambassadeur des États-Unis en Grèce devant un auditoire de journalistes.
To justify their attack, they have submitted unsubstantiated and obsolete evidence to the UN, provided by the CIA’s ‘evidence is us’ department or lifted from PhD theses or bugged telephone conversations in the 1990s, as the US ambassador to Greece admitted to the press the other day.