8. invita pertanto il Consiglio a esaminare la possibilità di definire una nuova operazione PESD su piccola scala, parallelamente all'operazione EUNAVFOR Atalanta, per contribuire alla formazione delle for
ze di sicurezza del governo federale di transizione, armonizzando fra loro, in questo modo, le iniziative esistenti – tra cui quella della Francia a Gibuti e quella dell'Uganda che rientra nel quadro del programma di formazione istituito dall'AMISOM – assicurando l'uniformità della loro azione; valuta positivamente, a tale proposito, l'approvazione da parte degli Stati membri, il 17 novembre 2009, del concetto di gestione della crisi p
...[+++]er una possibile nuova operazione PESD in Somalia, ma insiste sul fatto che l'approvazione del concetto di gestione non dovrebbe in alcun modo pregiudicare la decisione di avviare una missione, in quanto tale decisione può essere presa solo dopo un'analisi più dettagliata della situazione sul posto, accertandosi che i diritti dell'uomo siano rispettati, che le retribuzioni siano pagate, che le attrezzature siano disponibili e che le forze di sicurezza formate siano integrate nelle strutture statali e di comando, di modo che, una volta rientrate in patria, non si rivoltino contro il governo che dovrebbero proteggere; 8. invite dès lors le Conseil à envisager la possibilité de mettre en place une nouvelle opération PESD d'ampleur limitée parallèlement à l'opération EUNAVFOR Atalanta pour contribuer à la formation des forces de sécurité du GFT, et ainsi harmoniser les initiatives existantes – menées notamment par la France à Djibouti et par l'Ouganda dans le cadre du programme de formation mis sur pied par l'AMISOM – en veillant à ce qu'ils entreprennent le même type d'action; à cet égard, salue l'approbation par les États membres, le 17 novembre 2009, du concept de gestion de crise relatif au déploiement éventuel d'une nouvelle opération PESD en Somalie, mais insiste sur le fait que l'adoption du concept ne préjuge en rien de la décision de lancer une m
...[+++]ission, laquelle ne peut être décidée qu'après un examen plus approfondi de la situation sur le terrain, en s'assurant que les droits de l'homme sont respectés, que les salaires sont payés, que l'équipement est livré et que les forces de sécurité formées sont intégrées dans des structures de commandement sous contrôle de l'État, de telle sorte qu'à leur retour, elles ne se retournent pas contre le gouvernement qu'elles sont censées protéger;