A complicare la situazione ci sono i circa 39 000 profughi tagiki che, dalla fine del 1993, vivono nel campo di Mazar-I-Shariff nel nord dell'Afghanistan in attesa di migliori condizioni di sicurezza per poter ritornare nel loro paese d'origine, il vicino Tagikistan, sempre in preda ai disordini.
Pour compliquer la situation, environ 39.000 réfugiés tadjiks vivent toujours dans le camp de Mazar-I-Shariff au nord de l'Afghanistan depuis fin 1993, dans l'attente de meilleures conditions de sécurité pour retourner dans leur pays d'origine, le Tadjikistan voisin toujours en proie à des troubles.