D. considerando che il comitato di vigilanza, nella sua nota all'OLAF relativa al progetto di priorità della politica di indagine (Investigation
Policy Priorities – IPP) per il 2015, ha osservato che l'OLAF non ha tenuto conto delle tre raccomandazioni formulate nel parere n. 1/2014 del comitato di vigilanza: i) il Direttore generale dell'OLAF non ha emanato orientamenti sull'applicazione dei principi di selezione stabiliti dal regolamento n. 883/2013 (utilizzo efficiente delle risorse, proporzionalità, sussidiarietà/valore aggiunto) e, invece di rivedere gli indicatori finanziari per adeguarli alla realtà dei programmi di spesa, li ha a
...[+++]boliti completamente; ii) il progetto di IPP per il 2015 sembrava tener conto di diversi documenti provenienti dalle parti interessate, tuttavia pare che non sia stato avviato alcun dialogo con le parti interessate in relazione agli indicatori finanziari e ad un eventuale controllo dei casi per i quali vi era un sufficiente sospetto di frode, ma cui non era stato dato seguito sulla base delle IPP o dei principi di selezione; (iii) il Direttore generale dell'OLAF non ha trasmesso al comitato di vigilanza una valutazione dell'attuazione delle IPP precedenti o una sintesi del feedback fornito dalle parti interessate, nonostante si fosse precedentemente impegnato a farlo; D. considérant que le comité de surveillance, dans sa note sur le projet de priorités de la politique d’enquête de l’OLAF pour 2015, a indiqué que l’OLAF n
’avait pas tenu compte des trois recommandations formulées dans l’avis n° 1/2014 du comité de surveillance: i) le directeur général de l'OLAF n’avait pas établi de lignes directrices concernant l’application des principes de sélection découlant du règlement n° 883/2013 (utilisation rationnelle des ressources, proportionnalité, subsidiarité/valeur ajoutée) et, au lieu de revoir les indicateurs financiers pour les adapter à la réalité des programmes de dépenses, les avait supprimés total
...[+++]ement; ii) il est apparu que le projet de priorités de la politique d’enquête pour 2015 tenait compte de plusieurs documents de parties prenantes, mais qu'aucun dialogue ne semblait avoir été engagé avec ces dernières au sujet des indicateurs financiers et d’un suivi éventuel des dossiers pour lesquels il existait des soupçons de fraude suffisants mais qui avaient été rejetés sur la base des priorités de la politique d'enquête et des principes de sélection; iii) le directeur général de l’OLAF n’avait pas transmis au comité de surveillance d'évaluation de l’application des priorités précédentes de la politique d'enquête ni de synthèse des retours d’informations fournis par les parties prenantes, alors qu'il avait auparavant pris un engagement en ce sens;