B. considerando che oltre 500 prigionieri sono evasi alla fine di settembre 2015 dalla prigione di Ngaragba a Bangui e da Bouar, tra cui ben noti responsabili di violazioni e abusi dei diritti umani; che ciò rappresenta una grave minaccia per i civili e la protezione delle vittime e dei testimoni; che l'evasione dal carcere costituisce un passo indietro per l'ordine pubblico, nonché per la lotta contro l'impunità nella RCA;
B. considérant qu'à cette même période, plus de 500 détenus se sont évadés de la prison de Ngaragba, à Bangui, et de celle de Bouar, et que figurent parmi eux des auteurs notoires de violations des droits de l'homme; que ces personnes constituent une sérieuse menace pour les civils et pour la protection des victimes et des témoins; que cette évasion sanctionne un échec de la préservation de la loi et de l'ordre ainsi que de la lutte contre l'impunité en République centrafricaine;