La sentenza nella causa C-430/11 (Sagor) ha confermato che l'applicazione, in seguito ad azione penale, di una pena pecuniaria sostituibile con un provvedimento di espulsione è possibile purché il procedimento di espulsione rispetti tutte le garanzie procedurali previste dalla direttiva rimpatri, e che una pena di permanenza domiciliare può essere irrogata soltanto a condizione che esistano garanzie atte ad assicurare che essa non ritardi il rimpatrio.
L’arrêt dans l’affaire C-430/11 (Sagor) a confirmé que la sanction pénale consistant en une peine d'amende qui peut être remplacée par une peine d'expulsion peut être appliquée, pour autant que la procédure d'expulsion respecte toutes les garanties procédurales pertinentes de la directive sur le retour, et que la sanction pénale prévoyant l'assignation à résidence ne puisse être appliquée que dans la mesure où il existe des garanties permettant de s’assurer que son application ne retarde pas le retour.