El estudio sobre el potencial de una fiscalidad más ecológica, basado en datos de doce Estados miembros, indica que desplazar impuestos del trabajo hacia la contaminación (incrementando, por ejemplo, los que gravan las causas que contaminan la atmósfera y el agua) generaría ingresos por valor de 35 000 millones de euros, en términos reales, en 2016 y de 101 000 millones en 2025, y que estas cifras serían aún mayores si se tomaran medidas para eliminar subvenciones perjudiciales para el medio ambiente.
S'appuyant sur des informations en provenance de 12 États membres, l’étude relative aux possibilités de favoriser une fiscalité plus écologique révèle qu'un déplacement de la pression fiscale du travail vers la pollution (en taxant davantage les facteurs de pollution de l'air et de l'eau, par exemple) générerait des recettes de 35 milliards d'euros en termes réels en 2016 qui pourraient atteindre 101 milliards d'euros en 2025; ces chiffres pourraient être nettement supérieurs si des mesures visant à supprimer les subventions nuisibles à l'environnement venaient également à être prises.